J5 Mercredi 27 juillet - Shanghai > Guilin
Timing préventif plus que respecté: réveil à 4h40, prêts à la réception de l'auberge à 5h20 et le taxi avait 10 minutes d'avance. 5h20, sans conteste l'heure de la fraicheur!
On nous avait dit une demi heure mais le taxi a mis 20 minutes en roulant comme un tar... heu, en roulant vite.
On nous avait dit une demi heure mais le taxi a mis 20 minutes en roulant comme un tar... heu, en roulant vite.
Aéroport de Hong Qiao moderne, propre donc rassurant. Celui ci est plus petit que celui de Pudong, ou on a atterrit dimanche. Écrit en chinois / anglais, donc pas de stress.
Une chose seulement diffère de chez nous: le comptoir d'enregistrement ne fait pas de distinction pour les vols, on enregistre tout au même endroit.
Une chose seulement diffère de chez nous: le comptoir d'enregistrement ne fait pas de distinction pour les vols, on enregistre tout au même endroit.
Passage du contrôle de sécurité et évidement on est là 2 heures trop tôt... la plupart des shops n'ont pas encore ouvert. Heureusement HSBC a eu la bonne idée de mettre des bornes internet avec accès gratuit un peu partout. Un café pour la route et on va squatter la gate 32.
Dans l'espace d'attente, un peu plus de têtes "européennes". Les pâtisseries achetées hier soir un coin de la rue en guise de petit dej sont vraiment immangeables... un faux croissant et une pseudo pasteis. Seul le donut est fidèle à lui même.
Dans l'espace d'attente, un peu plus de têtes "européennes". Les pâtisseries achetées hier soir un coin de la rue en guise de petit dej sont vraiment immangeables... un faux croissant et une pseudo pasteis. Seul le donut est fidèle à lui même.
Entourés d'autochtones, ça sent la boustiffaille!
Une fois dans l'avion: joie! Celui ci est bien mieux que celui d'Aeroflot à l'aller. De la place pour les jambes, une petite tv (pas individuelles, mais une tv quand même), propre.
Atterrissage à Guilin un peu mouvementé parmi les montagnes et les nuages... Manque de bol, un quidam se trouve entre le hublot et moi même, je ne peux donc mitrailler comme je le voudrais.
Avant d'arriver, je prépare mon appareil photo pour prendre le chauffeur qui nous attend muni d'un papier avec mon nom dessus.
Mais... personne!
J'avais réservé chauffeur + voiture pour deux jours, via Serge Leret, un français vivant à Yangshuo. SMS à Serge qui me rappelle dans la foulée, et il faut se rendre à l'évidence: j'ai merdé, je me suis trompé de date...
On patiente donc une petite heure au cyber café de l'aéroport en attendant qu'il nous dégotte un chauffeur.
La bonne nouvelle: dehors il ne fait pas aussi chaud qu'à Shanghai!
Une fois dans l'avion: joie! Celui ci est bien mieux que celui d'Aeroflot à l'aller. De la place pour les jambes, une petite tv (pas individuelles, mais une tv quand même), propre.
Atterrissage à Guilin un peu mouvementé parmi les montagnes et les nuages... Manque de bol, un quidam se trouve entre le hublot et moi même, je ne peux donc mitrailler comme je le voudrais.
Avant d'arriver, je prépare mon appareil photo pour prendre le chauffeur qui nous attend muni d'un papier avec mon nom dessus.
Mais... personne!
J'avais réservé chauffeur + voiture pour deux jours, via Serge Leret, un français vivant à Yangshuo. SMS à Serge qui me rappelle dans la foulée, et il faut se rendre à l'évidence: j'ai merdé, je me suis trompé de date...
On patiente donc une petite heure au cyber café de l'aéroport en attendant qu'il nous dégotte un chauffeur.
La bonne nouvelle: dehors il ne fait pas aussi chaud qu'à Shanghai!
Finalement le chauffeur arrive à 13h30, tout sourire et même un peu désolé. Il a l'air très sympa mais malheureusement la barrière de la langue nous empêche les calembours subtiles, comme nous en avons coutume habituellement.
On arrive à l'entrée en bas des rizières vers 15h, après une route sinueuse et une conduite "énergique". On paye 200 yuans au chauffeur, qui s'en va à l'intérieur du bâtiment. 5 - 10 minutes se passent, et on en vient à se demander s'il n'a pas été acheter à manger avec nos sous. Que nenni, le revoilà avec les tickets officiels. On continue jusqu'au village de Dazhai.
Il nous laisse donc comme prévu sur le parking: on prend juste deux petits sacs à dos avec le minimum vital, et on laisse nos gros sacs dans le coffre, pour pouvoir faire la balade entre les deux villages demain sans devoir revenir sur nos pas. Si tout se passe comme prévu, il nous attendra sur à la fin de cette balade demain à 16h...
On continue à pied, en même temps qu'un autre petit groupe arrivés en mini bus. Après quelques minutes de marche, on s'en prend déjà plein les yeux.
On continue à pied, en même temps qu'un autre petit groupe arrivés en mini bus. Après quelques minutes de marche, on s'en prend déjà plein les yeux.
Il ne fait pas trop chaud mais le chemin monte et on sue quand même. On traverse Dazhai, puis on continue encore plus haut, vers Tian Tou village. Pas de panneaux, mais des habitants souriants à qui demander la direction. Le chemin est limite interminable quand on ne sait pas ou on va!
L'hôtel est simple mais plein de charme: Jian Tian hotel, en haut du village.
Douche, repos, et balade d'une petite heure dans les rizières aux alentours.
Douche, repos, et balade d'une petite heure dans les rizières aux alentours.
Séquence stress avec les plus grosses araignées jamais vues de ma vie. Le pire, c'est que plus je regardais les murs et toits des maisons en détails, plus j'en voyais...
On descend un peu plus bas pour trouver un resto, on s'arrêtera dans celui d'un petit hôtel, ou le cuisiner était d'ailleurs bien sympa. On jette notre dévolu sur du poulet, et apparemment ça pause problème à notre nouvel ami, qui ne parvient pas à nous expliquer pourquoi. Mais il ne se démonte pas, prend son téléphone et appel quelqu'un qui parle anglais. Après un certain effort de concentration (l'accent chinois en anglais n'est pas des plus évident), on comprend que si on choisit le poulet, il nous faudra attendre 30 minutes. Bon, soit, alors pas de poulet! Peu de temps après on comprend le pourquoi du comment: il faut aller chercher la bestiole, vivante, en bas du village... :p
On descend un peu plus bas pour trouver un resto, on s'arrêtera dans celui d'un petit hôtel, ou le cuisiner était d'ailleurs bien sympa. On jette notre dévolu sur du poulet, et apparemment ça pause problème à notre nouvel ami, qui ne parvient pas à nous expliquer pourquoi. Mais il ne se démonte pas, prend son téléphone et appel quelqu'un qui parle anglais. Après un certain effort de concentration (l'accent chinois en anglais n'est pas des plus évident), on comprend que si on choisit le poulet, il nous faudra attendre 30 minutes. Bon, soit, alors pas de poulet! Peu de temps après on comprend le pourquoi du comment: il faut aller chercher la bestiole, vivante, en bas du village... :p
A peine le temps de commander et un petit groupe de touristes chinois débarquent et s'installent près de nous: on devient alors la principale attraction: questions, photos... en tout cas on s'est bien marrés. Ils montent dans leurs chambres, et une famille prend leur place à nos coté, avec un gamin de 10 ans qui baragouinait quelques mots d'anglais.
Et pour la première fois depuis le début du voyage, notre repas est vraiment bon!
Et pour la première fois depuis le début du voyage, notre repas est vraiment bon!
Retour à l'hôtel ou on reste encore un moment sur la terrasse: Greg essaye de parfaire son chinois en papotant tant bien que mal avec une vieille autochtone (une des porteuses qui sont petites et frêles et qui portent des sacs plus gros qu'elles). Je lui achète un chouette petit sac, et Greg des cartes postales. Puis rencontre avec deux allemands et bla bla pendant quelques heures.
Au lit à 23h, après une brève inspection des lieux: visiblement les grosses araignées ont eu la bonne idée de rester dehors, contrairement aux souris, qu'on entendra cavaler au dessus de nos têtes.
Au lit à 23h, après une brève inspection des lieux: visiblement les grosses araignées ont eu la bonne idée de rester dehors, contrairement aux souris, qu'on entendra cavaler au dessus de nos têtes.